6 août 2010
Inspiration
L’astre d’or pâlissait et déjà l’ombre nueavançait sur la ville et décillait les yeuxdes badauds attardés au loin dans l’avenuetandis qu’à mon bureau je rêvais d’autres cieux. Tout à coup d’un poème arraché à sa placeje subis l’humble charme des étés...